Daniel & Jean-Claude Besse

Natation Vélo Course

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Porrentruy

A peine rentrés que nous voilà déjà repartis ! Direction Porrentruy cette fois-ci et avec les adultes du club. Arrivée sur place à 20h pour nous pour un souper pasta et un premier dodo. Les choses sérieuses commencent vendredi.

Une boucle de plus par beau temps

Départ vélo à 9h00 pour le premier tour du programme. On l'effectue tous ensemble (enfin, ceux qui sont là car plusieurs ne nous rejoignent qu'à partir midi) et P-A propose déjà de rajouter un petite boucle avec deux cols dans le deuxième tour. Il y a donc une scission du peloton au sommet de la montée de Bure. Le passage de Réclère est assez facile et la transition le long du Doubs est magnifique. S'en suit une longue montée sur Montancy (une dizaine de kilomètres) très régulière. Dès le départ, Jean-Claude et Sébastien imposent un rythme soutenu. Je suis quasiment en train de lâcher, mais décide finalement de faire l'effort pour combler les trois à quatre mètres de retard. La suite se fait au train (dans un très bon rythme tout de même) emmené tout d'abord par Sébastien puis Jean-Claude prend le relai à partir du demi-tour. Étant resté dans les roues dans toute la partie montante, je lance l'accélération sur le dernier faux plat entre la sortie du village et le sommet du col. On redescend chercher les autres et on retourne sur Porrentruy. Ceux qui n'ont pas pris de veste ont un peu froid dans la descente mais nos pensées sont plutôt dirigée vers les pâtes qui nous attendent à la ferme : une heure pour manger et digérer avant de se rendre à la piscine.
Au menu un 4km600 avec un bloc technique les pieds liés, une pyramide avec les anti-plaquettes et deux fois 400m. P-A propose que Jean-Claude et moi fassions ces 400m à fond et que les autres s'arrêtent en même temps que nous. On les tourne très bien (juste en dessous de 5' pour les deux) et la fatigue du soir est justifiée.

On s'entraîne même sous la pluie

Samedi, comme annoncé à la météo, c'est sous un ciel humide que Porrentruy se réveille. Mais bon, c'est pas trois gouttes d'eau qui se courent après qui vont faire peur à des triathlètes motivés. Notre décision est prise : on fait un petit tour à vélo suivi d'une plus longue course à pied. On refait donc le premier tour d'hier et il arrête même de pleuvoir au milieu de celui-ci. De retour à la ferme, on a dix petites minutes pour enlever les habits mouillés, en enfiler d'autres et c'est reparti pour la course. On part sur Porrentruy puis on monte dans la forêt en un bon peloton compact. Un groupe se détache dans la descente et on repasse devant la ferme à 40 minutes de footing. Philip et Sébastien augmentent un peu le rythme sur l'aller et décident de refaire une montée mais sur une plus petite boucle. Avec Jimmy, Joël et Jean-Claude nous décidons de rentrer à plat. Le rythme s'accélèrent à nouveau et Joël ne tarde pas à lâcher prise. Lorsque l'on croise l'autre groupe, Villy (le papa de Jimmy) nous conseille d'accélérer sur le retour. Jimmy obéit de suite et la fin est toujours plus rapide. Jean-Claude tient jusqu'à 500 mètres de l'arrivée et je dois laisser Jimmy finir seul sur les derniers 100 mètres à fond.
A 15h30 c'est rebelote pour la natation. A nouveau le bloc technique la lanière aux pieds, la pyramide est inversée mais toujours avec les anti-plaquettes. La série est basée sur des sprints de 25m qui sont à mon avis moins traumatisants que les 400m. A la fin de l'entraînement, on a 4'700 mètres au compteur en 2 heures et le soir, au restaurant, rares sont ceux qui ne baillent pas en attendant le service un peu longuet.

Le plus long tour à vélo de la semaine

Le dimanche, le départ du matin est avancé d'une demi-heure pour faire un long tour vélo et rentrer à temps avant la natation. Tout le monde est prêt à 8h30 devant la ferme avec des provisions plein les poches pour éviter les déconvenues de l'année passée. Philip donne le rythme sur la première partie légèrement montante en direction de Bure. Ça roule vraiment tranquille et on voit certains qui s'impatientent et d'autres qui se demandent comment on pourra faire plus de 100km à cette vitesse. Des travaux sur la route reliant Bure au Paradis nous obligent à faire quelques détours et c'est en vitesse constante que l'on passe par tous les petits villages français avoisinants l'Ajoie. Après les (bientôt traditionnels mais toujours plus courts) petits tours dans Delle, plusieurs pauses pipi officieuses et une officielle, on reprend enfin la direction de Porrentruy. Paradoxalement, c'est vent de face que la moyenne augmente un petit peu (sans pour autant être exceptionnelle). A quelques kilomètres de Porrentruy, un petit groupe vire à gauche sur Courtemautruy puis le fameux col de la Croix pendant que les autres rentrent sur la ferme et, pour certains du moins, rajoutent un tour par la toute aussi fameuse montée de Bure. Chacun monte à son rythme dans ce "mur" (j'avoue avoir été lâché tout de suite par Sébastien, Philip et Jean-Claude, puis essayé de revenir dans la partie descendante mais avoir vu mes 5 mètres de retard s'agrandir dans la partie la plus raide) et la descente courte mais raide est rapidement achevée. A Saint-Ursanne, un gros nuage de brouillard arrive droit sur nous et on n'évite pas la pluie sur quelques kilomètres malgré quelques relais appuyés pour passer au plus vite de l'autre côté de cette perturbation. P-A et Sébastien continuent leurs relais le long du Doubs où la moyenne augmente enfin. Sur la fin et lorsqu'ils commencent à fatiguer, Jean-Claude passe devant et appuie bien fort sur les pédales. Derrière on s'accroche comme on peut, quand Stef ordonne de ralentir pour être en forme sur la montée de Réclère. Il ne nous reste plus qu'un kilomètre tout tranquille et une pause ravitaillement à la fontaine de Vaufrey (elle est vraiment faite pour ça !) avant la dernière grimpette de 4 kilomètres environ. Je ne suis pas très motivé à tirer fort dans cette montée et avec Stef et Jean-Claude on laisse partir Philip et Sébastien devant lorsqu'on entend crier Priska: "Daniel ! Daniel, P-A t'appelle !" Impossible d'en savoir plus, il faut redescendre vers lui. C'est alors qu'il me dit qu'il ne m'avait pas vu devant et qu'il voulait savoir si j'étais là ! Un peu frustré d'être redescendu rien que pour cela, je repars de plus belle (Jean-Claude et Stef me suivent) et l'on réduit sensiblement l'écart sur les deux premiers. J'ai presque envie de dire merci papa !
Le retour est juste grandiose : vent de dos en faux plat descendant, on est régulièrement au dessus des 50km/h et la moyenne Réclère-Porrentruy doit bien être de 45km/h. Arrivé à la ferme, on a 130km au compteur et à peine un quart d'heure de retard sur l'autre groupe (qui a fait 120km), mais il est déjà 14h15 et le rendez-vous pour la piscine est à 15h15 :juste le temps pour quelques plats de pâtes ou spaghetti et on y retourne !

2'600m sont au programme aujourd'hui avec principalement des sprints. Une partie de water-polo clôt la natation pour la semaine.

Interval-duathlon Zofingen pour terminer le camp

Cette année, nous supportons à merveille la digestion de l'excellent repas de Chaton et nous pouvons donc prendre part au dernier entraînement de cette folle semaine : un interval-duathlon type Zofingen 4-16-4-16-4. Les premiers 4 kilomètres sont en groupe tranquille, mais les premiers écarts se font sur la montée à vélo (trop rapides pour certains bien que, en théorie, nous aurions dû rester tous ensemble). La transition suivante est rapide sur les premiers hectomètres puis un groupe conséquent se reforme sur la suite de la course à pied. Le départ vélo est plus lent la deuxième fois que la première, mais la montée est encore plus rapide qu'avant. Philip fait une attaque sur la petite partie moins raide et garde un rythme bien élevé sur le dernier raidillon. Seuls Sébastien et Jimmy ont suivi ; je suis un peu entre deux groupes mais remarque de suite qu'il sera impossible de revenir seul. J'attends Jean-Claude et on tire ensemble de bon relais sur le plat. Stef s'accroche comme il peut, mais c'est Villy qui passe dans la descente pour redonner un coup d'accélération. Il finit aux commandes du petit groupe jusqu'à la ferme... enfin, jusqu'à passage à niveau devant la ferme puisqu'on rejoint là les échappés qui sont bloqués par le train. Philip nous annonce 35 secondes de retard et 50 pour Jean-Claude (il avait perdu du temps lors du dépassement de la file de voiture dans Porrentruy). Suite à un consensus, on repart tous 35 secondes après eux. Villy sort premier de la transition et je m'accroche quelques mètres derrière lui. On reprend Philip (qui avait dû lasser ses chaussures) au bout de l'aller et le retour est un peu plus difficile. Je suis toutefois très content de mon rythme. Il faut dire aussi que la fatigue se faisait logiquement ressentir.


Voilà, c'était une magnifique semaine de camp où on s'est beaucoup entraînés. La météo, bien que parfois un peu capricieuse, a été des nôtres et nous avons pu rouler comme nous l'espérions. J'en profite pour terminer par un petit mot pour tous ceux qui ont coordonné ces camps. L'organisation était parfait aussi bien à la Vallée de Joux qu'à Porrentruy et j'y ai vraiment pris beaucoup de plaisir.

Daniel



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La Vallée, suite et fin

Mercredi

Après avoir passé entre les gouttes mardi, le temps se gâte sérieusement et c'est sous un mélange pluie-neige qu'on se lance à vélo mercredi matin vers 9h. Le long du lac est rapide (30-35km/h de moyenne) : il faut se réchauffer un peu ! Après Le Pont, on passe le "col" du Mont-d'Orzeire et la longue descente sur Vallorbe sans prendre trop de risque, mais à 60 à l'heure tout de même. Les doigts et orteils frigorifiés, on passe à flanc de coteau jusqu'à Premier. La route est toujours mouillée mais il ne pleut plus ; le relief vallonné nous permet de nous réchauffer.
La montée du jour (le Mollendruz par Vaulion) n'est pas très difficile, on la fait donc à une bonne allure (moi en tête...). C'est la fin qui se corse quelque peu : la descente sur l'Abbaye est courte, certes, mais dangereuse à cause des ruisseaux de neige fondante coulants sur la route. On atteint le fond gelés et trempés. Il reste une dizaine de kilomètres à effectuer dans le froid et vent de face : le panneau d'entrée de village du Brassus (57km et un peu plus de 2h après notre départ) est un soulagement ; une bonne tisane et une douche nous y attendent .
L'après-midi, nous profitons d'aller à la salle de gym en courant pour y faire un bon quart d'heure de renforcement musculaire (gainage, pompes, abdos, ...). On enchaîne directement dans le complexe sportif par 2h de piscine. La séance tourne cette fois-ci autour d'exercices "spécial triathlon", soit tête hors de l'eau, virages bouées, départ groupés, ... .

Jeudi

1er avril, c'est Dame Nature qui nous joue une belle farce : au réveil, dix centimètre de neige fraiche recouvrent le Brassus. La neige continuant à tomber durant le déjeuner, on met toutes nos affaires de vélo dans la valise : le retour se fera en voiture . Avant cela, il faut quand même profiter de notre dernière heure de piscine tous ensemble. Au menu, un pyramide 400-200-100-200-400 avec le 50 derniers mètres de chaque distance en sprint et quelques relais pour clôturer le camp.
Arrivés à la maison, il fait si beau qu'on attaque directement 45km de vélo avant même d'avoir défait tous nos bagages !!

Quelques chiffres...

Le camp de la Vallée de Joux, en 4 jours, c'est :
  • 261km de vélo en 10h10'
  • 15km300 de natation en 5h45'
  • 17km de càp en 1h40'
Jean-Claude



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Camp à la Vallée de Joux

Lundi

Partis lundi matin à 9h d'Ecublens destination la Vallée de Joux. Les logements de la Cantonnette nous attendent pour le traditionnel camp des Rushkids. Mais il faut d'abord le mériter : avec Daniel et Philip, on part (à vélo, évidemment) direction Moulin du Choc. On monte ensuite sur Gollion, puis Cossonay. On redescend sur la Sarraz avant de tirer à 43km/h de moyenne la ligne droite sur Orbe !
Il faut quand même penser à viser le Brassus... on y arrive gentiment en passant par Vallorbe, puis la montée du Mont-d'Orzeire (bien raide, mais on la monte à un bon rythme). Ensuite, il ne reste plus que la traversée de la Vallée par le Lieu, avec de belles bourrasques de vent dans la figure. Au total, 74km en un peu moins de trois heures. L'après-midi, 45' de càp avec trois fois 2' rapide, 1' de repos en trottant. Puis 2h de natation le soir.

Mardi

Le temps est mitigé, on décide de commencer "à plat" (relativement vallonné et vent de face, qui a soufflé toute la semaine dans la même direction) vers La Cure, avant de monter gentiment sur le col de la Givrine. On descend sur Arzier via Saint-Cergue. La suite du tour se fait par la combe des Emburnets jusqu'à Gimel ; beaucoup de descente et quelques "coups de cul". La difficulté de la journée nous attend encore : la montée du Marchairuz par Gimel, soit 9km800 en 44'50". J'ai un peu de peine entre 4 et 5km, mais après la pente s'adoucit, donc j'ai réussi à suivre le rythme imposé par Phil ; contrairement à la descente où ma frayeur de l'été passé m'a rappelé quelques mauvais souvenirs...
S'en suit un enchaînement càp où Phil part très fort à mon goût. Après 6min, il annonce avoir fait la moitié... je n'avais pas compris qu'on faisait 12' à fond puis le reste tranquille ! J'accélère donc et pose gentiment Phil puis Daniel sur la fin...
Après une petite sieste bien méritée, c'est l'heure de la séance natation. 4km spécial quatre nages et changements de rythme.

Jean-Claude
PS: Patience, la suite viendra après le camp de Porrentruy où on part maintenant et jusqu'à lundi...



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Vive le printemps !!

En mal de kilomètres...

C'est un peu la sensation ressentie il y a une semaine et demie : le temps ne se prêtait toujours pas à sortir à vélo, et le compteur dépassait péniblement les 100km. On repense à l'année passée, où à cette période j'avais déjà dix fois plus de kils à mon actif (grâce à un semaine à Tossa, il est vrai). Après avoir fait un service au vélo et installé un guidon de tri, l'envie de sortir faire un tour est d'autant plus grande...

L'arrivée des beaux jours


Sortie en court mardi après-midi avec Daniel...
Le soleil pointe enfin le bout de son nez. Ni une ni deux, départ à vélo mercredi passé pour environ 35km légèrement vallonnés direction St-Saphorin puis Cossonay.
On retourne à vélo avec un petit groupe du Rushteam samedi matin à 10h. La sortie se fait en rythme tranquille mais très régulier, via Echandens, Bussy, Aubonne et retour par les petits chemins le long de la route cantonale. Pour exercer les transitions, on enfile vite les chaussures de course et effectue un petit 3km rapide autour de l'Ormet.
Le temps aidant, nous sommes repartis à vélo hier après-midi (mardi) ; et en court s'il vous plaît. Cette fois-ci, la cadence est plutôt élevée (c'est surtout de ma faute, je l'assume...). Nous décidons de partir direction Gollion via Moulin-du-Choc, puis de descendre sur Cossonay-Gare pour mieux tirer sur la montée de Cossonay. Les faux plats descendants en ligne droite jusqu'à Grancy sont propices à des 40km/h au guidon de tri (voire 45km/h vent de dos ) : on prend vraiment plaisir à vélo...
Sur le retour, on ralenti le rythme, mais pas forcément la moyenne : la descente de Vuillerens est en effet plutôt rapide (59,62km/h sans pédaler...).

Objectif 1'000km

Actuellement, le compteur approche gentiment les 300km. C'est juste assez pour envisager sous de bons hospices les camps de la Vallée de Joux et de Porrentruy la semaine prochaine. 8 jours de vélo (entremêlés il est vrai de natation et course à pied comme tout camp de triathlon qui se respecte) devraient donner un sacré "boost" à notre actif-kilomètres. On peut donc envisager sérieusement de dépasser les 1'000km pour la fin des vacances de Pâques.

Jean-Claude



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Indoor Triathlon Luxembourg

Nous avions rendez-vous ce week-end avec la sélection suisse de triathlon pour participer au triathlon en salle du Luxembourg. Départ donc vendredi matin de Bâle, après environ deux heures de train, pour Echternach. On voyage en car (avec les vélos dans la remorque) dans une bonne ambiance même si le trajet est relativement long : plus ou moins 5 heures..., de quoi discuter un bon moment   (en suisse-allemand qui plus est !!).
On se voit offrir une jaquette, un polo et un pantalon de training chacun, pour être un groupe bien assorti. Valentin et nous recevons encore un T-shirt de càp et un short pour notre qualification pour les championnats d'Europe de duathlon : il faudra trouver de la place pour tout faire passer dans le sac (mais rassurez-vous, il y en a toujours pour les cadeaux ).

Accommodation

Arrivée vers 14h30 sur place, au complexe sportif national d'Coque, centre génial pour faire du sport : 2 piscine intérieures de 50m (10 et 6 lignes), une piste d'athlétisme de 200m qui peut être levée dans les virages pour passer à vélo, les chambres (ou plutôt les suites !!) directement dans le complexe, ... . On profite donc d'aller nager environ 2'300m et de bien dormir après un bon souper...

La course

Même si il faut en relativiser l'importance, c'est bien pour ça qu'on y est allé, non ? Le triathlon se déroule en système "Cup" (séries, demi-finales, finale) sur des distances "ultra-sprint" : 200m natation, 2km vélo et 1km càp. Pour ma part la natation se passe pas trop mal : je sors 2e ex-æquo de l'eau. Il faut ensuite traverser le couloir jusque dans l'arène de vélo et course. J'essaie de passer à côté du concurrent ayant nagé comme moi pour sortir en tête de la zone de change ... mauvais choix : les dalles sont mouillées et donc glissantes. Je me retrouve les fers en l'air dans le corridor !
C'est pas si grave, je me relève et fait mon parcours vélo tout seul. Il faut pas avoir trop peur dans les virages, réputés dangereux au-dessus de 40km/h (ce qu'on a à peu près tous fait...).
Je pose mon vélo avec un tour de retard sur le premier de ma série (nb: pour ma décharge... les élites faisaient avec nous et un tour ne représente "que" 200m). Le kilomètre à pied me fait plus souffrir ; les sensations sont bonnes mais pas excellentes. Je boucle ma série en 11'48", trop lent pour passer au stade suivant et un peu déçu de n'avoir pu drafter à vélo pour une pareille stupidité.
Tant pis, ça me permettra d'encourager les autres et j'en ai fini de souffrir... enfin, c'est ce que je croyais : en se refroidissant, la hanche que j'ai tapée en tombant me fait de plus en plus mal (mais c'est passé maintenant).
Daniel se qualifie lui pour les demis en 11'25", grâce à un bon parcours càp. En demi, il est avec Ueli (Buehler) à vélo et ils font un tour de pas assez (trop dur de compter jusqu'à dix ?) : ils sont donc éliminés. De toute façon, ils n'avaient presque aucune chance d'arriver en finale : aucun junior (donc aucun suisse) n'y est parvenu.

Chez les filles, la victoire revient à la vice-championne d'Europe (May) devant la première suissesse (Jasmine Marty). Une victoire suisse quant même en jeunesse B fille pour Estelle ; Antoine finit deuxième chez les garçons.

Ensuite, le souper et le dessert sont bien mérités : on retourne se coucher après être allé boire un petit verre (un coca je vous rassure...)

Le retour

Pas si vite quand même. Dimanche, on profite des 10 lignes d'eau libres pour nager 4km. Après on range nos chambres et monte dans le car pour un long trajet de retour : le w-e est déjà fini .

Jean-Claude



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