Daniel & Jean-Claude Besse

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Six Gap Century

Jeudi suite à une proposition d'un ami (Caleb) du club de triathlon de Georgia Tech je me suis inscrit au Six Gap Century, un tour à vélo de 104 miles dans les montagnes du nord de la Géorgie. Pour être honnête j'ai hésité un moment avant de m'inscrire mais je crois que la petite conversation sur facebook résume bien la situation:

Caleb: - quelqu'un tenté par faire le Six Gap Century dimanche
moi: - en Suisse j'aurais dit non, mais j'aimerais bien voir à quoi ressemble vos montagnes une fois
un autre du club: - par rapport aux Alpes, c'est rien
Caleb: - mais ça reste 11k (pieds) de déniv

Vous l'aurez compris, je me suis lancé dans une folie un défi de 170km avec plus de 3000m de montée. Ce matin, le rendez-vous était fixé de bonne heure avec Caleb pour rejoindre le départ en voiture. Une fois sur place, on prend notre dossard et notre puce (il n'y a pas de classement général je crois, mais deux montées sont chronométrées). En pompant la roue arrière de mon vélo, l'embout de la valve reste dans la pompe. La chambre à air ne perdant toutefois pas d'air, on décide de rouler comme ça après avoir vérifier que j'aie effectivement une chambre de rechange et une cartouche dans la saccoche. Le départ étant à 7h30, le soleil n'est pas encore levé et il fait presque froid. Cinq minutes avant nous sommes quasiment les derniers à rejoindre la ligne de départ et il doit y avoir malgré tout un bon millier de vélos devant nous. Le départ est donné à l'heure, mais il nous faut bien 4 minutes pour passer effectivement la ligne. Les trentes premiers kilomètres se font donc sur un bon rythme à dépasser en continu du monde... et pourtant la route est toujours pleine de cyclistes. Les premières montées s'enchaînent et passent comme des lettres à la poste. Seul quelques pauses aux ravitaillements nous ralentissent la moindre et la mi-parcours arrive plus vite que prévu (50 miles en 3h pauses comprises). Pour l'instant ça n'a fait que monter et descendre mais les pourcentages sont juste comme je les aime: un peu comme le Mollendruz à vrai dire, on peut bien tirer même si ça peut être long. Sur le début du retour arrive la première montée chronométrée. Un spectateur nous dit qu'elle fait 6 miles. Après une petite discussion avec mon copain, je décide de la faire rapide et d'attendre en haut. Je pars très fort mais ça avance bien (malgré qu'elle soit un peu plus raide que les autres) et rapidement il y a déjà une partie en descente. La deuxième partie est par contre plus longue et les cuisses commencent à tirer. Après un moment arrive enfin un ravitaillement, mais il reste en fait encore un petit bout pour être au sommet (celui-là est juste là pour ceux qui sont trop fatigués). Après une bonne pause, nous repartons pour la suite de noter tour. Cette descente est très raide (70km/h en freinant  quand la route tourne ou n'est pas très bonne et ne pédalant jamais) et dans la petite remontée au fond je sens que mes jambes ont bien forcé. Allez, il ne reste plus que 60km (gups) ! On rejoint ensuite la séparation entre le parcours de 104 miles et celui 58 miles et c'est au tour de la deuxième montée chronométrée. Au fond il y a un panneau pour le prochain ravitaillement dans 3.1 miles donc ça doit être plus ou moins la longueur de la montée. Encore une fois la montée est assez raide et mon état de fatigue ne me permet pas vraiment de prendre le même rythme que sur la première. Je laisse pour une fois des cyclistes me dépasser (ce que je n'avais fait qu'au fond des descentes précédemment pour attendre mon copain, car comme il n'a que 8 mois d'expérience à vélo dans les plaines du Texas, il ne descend pas encore comme un fou un vrai cycliste). Mon copain n'est pas très loin cette fois et sous son impulsion on ne fais plus que de petites pauses aux ravitaillements pour rejoindre l'arrivée. La dernière montée (qui n'en est pas une véritable en fait) est particulièrement difficile pour moi, mais après la longue descente je me sens quand même obligé de tirer notre groupe (avec l'aide d'un autre par la suite, qui va même me lâcher sur la toute fin). Au total, ça nous donne 167km avec 3900m de dénivélation positive (et négative) pour 6h08 de selle et 40' de pause. Le tout avec beaucoup d'autre cyclistes, un temps un peu moyen mais tout à fait potable et une belle organisation (ravitos tous les 20km avec des bénévoles très gentils et pâtes à l'arrivée). Reste maintenant à bien récupérer, car je crois que les cuisses ont en besoin...

Profil Six Gap Century
Profil du tour
1 comment
super.
bientôt prêt pour Embrun ?

par PA the 01-10-2012 at 10:51


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CS de triathlon Morat

Dernier triathlon de la saison : les Championnats Suisses à Morat. Mardi je vais avec Gianna faire une fois le parcours à vélo, qui a changé par rapport à l'année passée : plus roulant, avec beaucoup de vent, et aussi deux jolies montées pour casser un peu le rythme le long du parcours. La température la semaine précédente est un peu fraîche, mais le jour même c'est grand beau soleil.

Natation

Enfin un triathlon où il y a un peu plus de monde que d'hab' en PRO. En natation, il faudra donc se donner pour essayer de suivre le rythme. Usuellement ça me convient mieux que lorsque je dois l'imposer moi-même. Effectivement j'arrive à suivre les bulles de Nils à l'arrière d'un petit groupe de tête sur les premiers 300m avant de décrocher gentiment mais continuer à un bon rythme à côté d'Adrian Haller et Patrick Ryhner. Sven Anderlind (en populaire, donc parti 5m derrière) me rejoint ensuite. Je n'arrive pas vraiment à crocher après le demi-tour, mais perds beaucoup moins de terrain qu'à Locarno (et me sens avancer bien plus vite d'ailleurs). Satisfait donc de ma partie natation, plus ou moins équivalent à Lausanne mais bien mieux qu'à Nyon ou Locarno. La puce me gêne un peu en enlevant la néo mais je m'en sors assez bien et on partira les quatre avec peu d'écart à vélo.

Vélo

Les premiers 10km de vélo sont plats, ou très légèrement valloné, et vent de dos sur le début (de côté ensuite). Peu d'écarts se font donc, mais je commence à peiné un peu dans le bout vent de face vers Salavaux face aux trois concurrents (tous en vélos de contre-la-montre). Je les laisserai filer à la première montée, où je suis étonné d'avoir Andrea Salvisberg en point de mire (il est en fait tombé à vélo). Je continue mon pensum tout seul vers Cudrefin, satisfait de ma première partie (tout en sachant que je suis pas un super grimpeur). Tout seul c'est un peu moins motivant, mais je m'accroche tout de même. Au départ de la deuxième montée c'est Stefan Riesen et Jonas Nowka qui me dépassent juste au mauvais moment (en montée s'accrocher est plus difficile). Au sommet par contre je prends le train de Valentin et deux autres adultes "popu" et on finira le parcours ensemble, en "drafting légal" (càd en respectant les 10m de distance, mais ça aide vachement quand même).

Sur la fin l'épaule droite me fait des lancées et je dois quitter un peu le guidon de tri pour me relaxer. La course arrive bientôt, c'est l'occasion de confirmer le temps canon de Locarno...

Course

... ou pas : assez rapidement je me rends compte que ça ne tourne pas comme escompté. Je laisse les autres filer et baisse progressivement de rythme jusqu'à un gros "coup de mou" entre 3 et 4.5km. Mal au bide, envie de marcher, regard sur le bout des chaussures, ..., il faut serrer les dents pour se forcer à continuer. Je donnerai ensuite gentiment le tour sur les quelques derniers kilomètres, mais à l'arrivée je suis très déçu, d'autant plus que c'était les championnats suisses, et la course à pied était la discipline où je me sentais le mieux aux entraînements. 



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Hot Dam Triathlon

Me voilà depuis un mois déjà ici aux USA. Les cours ont commencé depuis trois semaines déjà. J'ai un horaire assez vide par rapport à celui que j'avais à l'EPFL, mais il y a aussi plus de homeworks à faire à la maison. Je ne suis pas vraiment un partisan de noter un travail fait à la maison (dans quel but ? juste vérifier qu'on travaille pendant tout le semestre ?). Toutefois, je ne vais pas me plaindre pour une année d'échange car ça me permet d'organiser ma semaine comme je veux. Pendant les cours, il est assez difficile je trouve de faire connaissance avec les autres étudiants. La plupart ont un cours seulement en commun avec moi et c'est des cours d'une heure et demi sans pause au milieu (et vous savez comment sont les étudiants, toujours arrivés à la dernière minute et repartis dès la sonnerie), ce qui fait qu'on a pas vraiment le temps de discuter. La première semaine de cours, je suis toutefois allé deux ou trois soirs au rush. Aucun rapprochement à faire avec le rushteam, il s'agit là des fraternités (toutes ces maisons nommées par des lettres grecques) qui font leurs portes ouvertes pour recruter les freshmen (première année). A l'américaine, il savent comment attirer un étudiant : pendant la première semaine, tous les soirs il y a musique à fond et nourriture gratuite devant chacune des maisons. Personnellement, je ne les intéresse pas vraiement puisqu'ils veulent quelqu'un qui s'inscrive et qui vive avec eux à partir de la deuxième année (et je ne serai plus là alors), mais j'ai quand même rencontré un peu de monde, et je suis d'ailleurs retourné à une fête dans une fraternité le weekend suivant.

Concernant le sport, j'ai fait quelques entraînements avec le club de vélo et le club de triathlon de l'université ainsi que quelques entraînements de natation avec un ami rencontré un jour à la piscine. Samedi il y a une semaine, je me suis joint à un petit groupe pour aller faire un OWS (open water swim) au lever du soleil dans un superbe (et très chaud) lac d'un parc naturel avant d'enchaîner par 75km à vélo quasiment sans quitter le guidon de triathlon. De quoi être bien fatigué à la fin. C'est juste dommage que la ville soit si grande ici et qu'il faille faire 40' de voiture pour ça. Sinon je me suis également inscrit avec la fraternité pour les matchs de football sur le campus et il y en avait un ce samedi (auquel je n'ai pas pu assister) et c'est visiblement ce qui met l'ambiance sur le campus le samedi.

Hot Dam Sprint Triathlon

Si vous vous demandez toujours d'où vient le titre de cette news, soyez patient ! Ca vient maintenant.

La deuxième semaine de cours, le club de triathlon avait sa première réunion de l'année. J'y apprends que l'on a un coach qui fait un plan d'entraînement pour le club. On le reçoit par internet et après libre à nous de le suivre ou pas. Il n'y a pas l'air d'avoir vraiment des entraînements en commun (juste quelques fois quelqu'un qui se sent l'envie d'être accompagné et qui met un mot sur facebook). Je me décide aussi à ce moment là de participer à mon premier triathlon ici le 8 septembre pour l'olympique d'Hot Dam auquel il me semble que plusieurs autres prétendent y participer. Le temps passe et finalement je suis le seul du club inscrit. Deux ou trois autres font le sprint mais le lendemain. Je demande donc de changer de distance (car ça change de jour et je voudrais bien y aller avec eux). Le triathlon est à 7h du matin et il y a 2h30 de trajet en voiture pour rejoindre le site. Un groupe y va la veille, ce que j'aurais bien voulu faire, mais ils n'ont pas de place pour moi et je me retrouve donc à me lever à 3h du matin, prendre la voiture à 3h30 et arriver juste à 6h (même si avec le retard du début, le GPS prédisait 6h40) sur place. Il fait encore bien nuit et les gens commence à peine à arriver. En voyant l'infrastructure, je me rends compte que c'est plus petit que je pensais et mon copain me dit "tu peux gagner la course" à quoi je rigole un peu (en y pensant sérieusement tout de même). Il y a quand même un ou deux vélos de contre-la-montre et une roue pleine. Le soleil se lève à 6h45 - 6h50, juste le temps pour un rapide briefing et départ. Je prends rapidement le large en natation dans une eau presque plus chaude que nécessaire (et clairement plus chaude que l'air). En sortant, je cours sur la plage seul et quand le speaker annonce 2 personnes s'appretant à sortir de l'eau, je suis déjà dans la zone de transition, il ajoute donc "7'45, this guy is not slow!". Mais je pense aussi qu'il n'y avait pas 750m. Je pars donc seul sur le parcours vélo. 1km pour sortir du petit parc, puis une route à deux pistes en ligne droite avec de la forêt à gauche comme à droite et personne pour montrer le chemin. Je sais que c'est un aller-retour alors je m'inquiète pas trop et passe ces faux plats les uns après les autres. Après 9km arrive la première intersection (il y avait juste une église avant, sinon rien) et c'est le demi-tour. Au retour je constate que j'ai une belle avance sur tout le monde. Je continue à mon rythme malgré tout. La course à pied se passe plutôt bien également. Mon pied ne me fais pas mal, je sens un petit moment tirer le long de la malleole mais ça passe très vite et de toute façon je n'aurais pas eu besoin de forcer car je finis en 54' avec 4' d'avance sur le deuxième environ. Au final, il n'y a que 63 classés (femmes comprises) et je crois que le speaker a été impressionné par le fait que j'aie all this ITU stuff (je portais la combi suisse).  Une bonne moitié des participants à dû recevoir une bouteille de vin blanc à la fin, sauf moi qui n'est pas 21 ans (et deux shérifs surveillaient, alors attention. Mais j'ai quand même eu un carton de gels en échange.).


Finish du Hot Dam Sprint Triathlon (photo du facebook de Georgia Triathlon Series).

Pas beaucoup de concurrence donc, mais ça m'a fait très plaisir de pouvoir refaire un triathlon depuis ma fracture de fatigue d'il y a trois mois maintenant. Je pense faire un olympique le mois prochain pour clôturer l'année comme les températures permettent de courir encore en mi-octobre ici (là il doit y avoir plus de monde du club, mais auusi plus de concurrence car c'est un 70.3 organisé par une grosse société commerciale des USA avec une dizaine de pros invités et il paraît que pas mal de monde fait l'olympique à côté).



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Triathlon de Locarno

Nous arrivons déjà le jeudi au Tessin pour faire le tour de la famille (enfin que d'une partie me corrige-t-on assez vite...), ce qui laisse bien le temps de s'acclimater du voyage, mais aussi de la chute de température et de la pluie triste. Du coup pas de sport pour ma part le jeudi et vendredi ; un petit tour à vélo et léger footing tout de même le samedi en fin d'après-midi avec Val et Matthieu pour se remettre un peu en jambes.

Le jour de la course heureusement il ne pleut pas, la température est assez agréable ... mais la grande surprise vient de l'eau, qui est tombée à 15-16°C (je regrette vite les 25°C du lac Léman quatre jours plus tôt !). Le départ étant sur la berge, ça fait un petit choc de courir dans l'eau froide pour partir et il faut une bonne centaine de mètres pour trouver le bon rythme. Nils, Sven et Lukas sont partis devant et je fais toute la natation en quatrième position (enfin sauf quand Nils se trompe de parcours et se retrouve quelques instants derrière). Sortie de l'eau avec Valentin donc et départ pour le Valle Maggia à vélo.

Une pente assez régulière qui me convient mieux que les montées raides comme Genève ou Nyon, au guidon de tri sur 90% du parcours (là ça vaudrait la peine d'avoir un vrai TT plutôt que nos petits prolongateurs, mais enfin). Val prend un peu d'avance, mais je le garde en point de mire (environ 1'). Stefan Riesen me passe comme un bolide (avec un "popu" collé dans sa roue), et un autre populaire ensuite. Au demi-tour à Someo, je vois les que les trois meilleurs nageurs draftent ensemble (et ils prendront du coup beaucoup d'avance, mais chacun a sa conscience...). Derrière moi, un groupe de sept arrive pas très loin. Dans la descente (heureusement, la montée devenait longue), je profite de prendre un gel. Je rage un peu (intérieurement) lorsqu'au 37e km le groupe me dépasse tous dans les roulettes ; au final je me relève un peu, bois comme il faut et me promets de les battre en course.

En partant à pied seul Ivan part devant moi, mais je le redépasse au plus vite. Le rythme est (très) élevé et on revient assez vite sur Val qui s'accroche un petit kil mais semble souffrir (au fait du bas du dos). Aucune douleur dans les jambes, transition nickel, et j'arrive à maintenir un excellent rythme à pied ; très certainement ma meilleure càp sur olympique. Je me réjouis de voir le temps càp : 32'32", c'est très rapide (même trop, à mon avis il doit manquer 500-800m) !

4e PRO au final, 7e scratch de la compétition, et deuxième finish en sub-2h. Natation moyenne (dans la norme mais j'attendais un peu mieux après Lausanne), vélo bien et excellente càp. (album photo dans les liens "Voir aussi")



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Triathlon de Lausanne

Retour un instant sur la distance sprint pour le triathlon de Lausanne après une bonne série d'olympiques cette saison. La natation me paraît courte du coup (500m), mais je préfère remettre un peu de rythme sans trop se fatiguer.

Natation

Pour la natation, la combinaison est autorisée, je vais donc la mettre, pour éviter d'être coulé au départ surtout. Sur 500m, le port de la néo ne devrait pas changer grand chose, ni dans un sens ni dans l'autre. Je suis assez confiant en natation avant le départ car les sensations la semaine à l'entraînement étaient excellentes. J'arrive à me pousser vaguement avec les pieds du ponton pour partir vite et m'extraire de la masse. Je suis étonné de voir quelques vagues mais m'en sort très bien et passe les bouées en tête juste derrière le kayak (qui me bouche la vue sur le retour mais je lui fais confiance pour la direction...). Deux autres nageurs arrivent vers ma hauteur (dont Toscan qui fait son retour en Suisse), mais je reste plus ou moins devant et sort donc en tête de l'eau.

Sortie de l'eau en tête...

Vélo

A vélo Max Biewer me rattrape assez vite et on fait le premier tour ensemble jusqu'à ce que Adrien Briffod nous rejoigne à la fin du premier tour. Les montées ne sont pas trop mon fort, je dois donc les laisser filer mais m'accroche du mieux possible. Aucun autre ne me rattrapera, mais je dépasse (évidemment) beaucoup de monde parti dix ou vingt minutes avant (et il faut se faufiler un peu quelques fois). Arrivée dans la transition donc en troisième position scratch, toujours premier de la catégorie 20-34 ans (et le classement ne bougera plus depuis la fin du premier tour vélo).

Montée d'Ouchy pour la quatrième fois...

Course à pied

La partie càp était un peu plus incertaine que la natation, à cause de ma cheville gauche qui me gêne un peu depuis quelque temps et aussi de mes performances en dent de scie cette saison. Je pars à un bon rythme, sachant que sur 5km il n'y a pas beaucoup de questions à se poser (et c'est pour ça que j'aime bien ce format). La cheville se fait sentir, mais je ne baisse pas le tempo pour autant (ça fera moins de temps à tenir). Devant ils sont trop loin, derrière je ne vois personne ; les supporters incitent à maintenir l'allure.

Course à bonne allure...

Très satisfait de ma performance globale, bien que je perde passablement de temps sur les deux premiers. Ça fait du bien de remonter sur le podium après ces courses difficiles en PRO. Superbe triathlon de Lausanne, comme très souvent !

3 comments
On applaudit des deux mains : B R A V O DANIEL !!!
par nibel64 the 27-08-2012 at 15:20
B R A V O JEAN-CLAUDE !!!
par nibel64 the 27-08-2012 at 15:22
Euhhhh, le premier commentaire est bien entendu nul et non avenu ! On sait bien que Daniel n'est pas là... mais bon, mon clavier s'est emballé et j'ai pas réussi a rattraper le message !!! Bravo JC donc et salutations à Daniel qui lira certainement et qui va bien rigoler !
par nibel64 the 27-08-2012 at 15:25


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