Daniel & Jean-Claude Besse

Natation Vélo Course

News

Récit du week-end avec la journée des Rushkids

Samedi

Samedi d’abord. Vers 10h nous partons à vélo avec Jean-Claude et profitons du beau temps pour enfiler les habits d’été. A peine sorti du garage, je me dis que les manchettes n’auraient pas été de trop. Sur le Tir Fédéral, nous constatons un bon vent de face, qui vient augmenter la sensation de frais. Celle-ci sera par contre de courte durée puisqu’elle est déjà oubliée à Crissier où l’on commence notre montée. Direction Cheseaux, puis Morens et Cugy. On attaque ensuite des routes rarement prises sur Villars-Tiercelin avec de belles lignes droites dans la forêt, tant d’occasion de tester le guidon de tri. Après une petite pause pipi, il est temps de redescendre sur Sugnens. Nous sommes à peu près à la moitié de notre tour, mais c’est la moitié la plus difficile puisqu’en montée avec vent de face (on est à 23km/h de moyenne, mais celle-ci sera de 29km/h à la fin alors qu’on a gardé les mêmes Watts au pifomètre). Dans le village de Sugnens, nous hésitons sur la direction puis suivons (avec raison) les indications Echallens. Ce qui nous mène à Villars-le-Terroir, puis par une petite route tout droit sur ... euh sur ... le prochain village bien sûr ! Peu après je me repère à la vue du « phare du Gros-de-Vaud » (comprenez par là le château d’eau de Goumeons-la-Ville). A Saint-Barthélémy, nous effectuons un changement de vélo pour tester la position de l’autre. Conclusion à Sullens : la selle de Jean-Claude est plus penchée en avant, ce que je trouve un peu bizarre au début mais qui se révèle être très agréable une fois au guidon de tri. On est par contre assis plus en avant sur la selle et on pourrait donc la reculer un tout petit peu. Mon guidon de tri est par contre mieux positionné que le sien (qui fait mal aux avant-bras comme on ne pose pas bien devant et derrière). Un autre détail qui frappe est que ma cocotte droite est nettement plus haute que la gauche, mais ça c’est devenu une habitude et je ne veux pas changer mes cocottes maintenant.

De retour à la maison, nous partons pour deux kilomètres de course à pied juste pour faire une petite transition. Et après le diner, nous effectuons les réglages de la position avec même le mètre pour comparer la hauteur de selle.

Dimanche

Aujourd’hui, nous avions la journée Rushkids. Au programme : vélo, puis enchaînement càp et enfin repas et jeux.

A 7h30 je suis déjà réveillé. Je profite donc du temps libre pour faire un ancien test de Science des Matériaux (eh oui, on a plusieurs tests de moitié de semestre la semaine prochaine et il faut bien trouver un peu de temps entre les entraînements pour les préparer). Je prépare ensuite mon sac avec les affaires de course ; on ne va quand même pas aller à une journée de sport en voiture ! Nous montons jusqu’à Etagnière plus ou moins comme hier. Les manchettes ne sont pas de trop cette fois-ci  et le vent n’a pas faibli depuis hier. Nous sommes au rendez-vous à 10h et attendons ... relativement longtemps puisque le départ n’est en fait qu’à 10h30.

Nous partons ensuite avec Sébastien, Antoine, Joël, Estelle, Sylvain, Valentin et Marie pour environ une heure trente de vélo. Sébastien pousse un peu le rythme au départ jusqu’à Bavois. Dans la montée en face du vallon c’est Antoine et Valentin qui tire la montée sur Arnex. La descente sur Orbe se fait un peu plus lentement mais le rythme reprend entre Orbe et Chavornay. Nous montons alors sur Penthéréaz. Jean-Claude et Antoine partent devant, Valentin les rejoint  puis je décide de faire également l’effort pour combler les 20 mètres qui nous séparent. Valentin se laisse alors rétrograder pour monter avec Sylvain et Sébastien et tandis qu’Antoine et moi-même suivons l’impulsion de Jean-Claude. Une fois au sommet, je redescends jusqu’à l’entrée du village mais ne voyons pas Marie je décide de remonter ne sachant pas si elle est véritablement venue avec nous (Joël ne l’a pas vue au début de la montée). Nous continuons donc sur Goumeons sans elle et les Fridelance nous lâchent alors pour rentrer chez eux chercher leurs affaires et poser leur vélo. Le vent de dos nous donne alors des ailes. J’attaque tout d’abord en direction d’Echallens avant de relâcher un peu le rythme pour recomposer le peloton. Après Echallens c’est Jean-Claude qui se met au guidon de tri. Cette fois-ci tout le monde suit malgré les 55km/h affichés au compteur. Je redonne un petit coup d’accélération et Sébastien passe aussi. Antoine passe devant dans la montée d’Assens et je tire la ligne droite jusqu’à Etagnière où Sébastien passe pour le sprint mais tous les autres ne sont pas en reste.

De retour au terrain de foot, nous changeons les chaussures et attendons que tout le monde soit près pour partir en footing. Joli petit tour dans la forêt en groupe et nettement plus tranquille que le vélo.

Nous avons ensuite droit à la douche, un bon diner ainsi qu’une séquence vidéo préparée par Pierre. Nous nous recyclons alors au foot, avec certes moins de succès mais le sourire est au rendez-vous sous le soleil de l’après-midi. Et pour terminer la journée, nous nous remettons en selle vers 17h-17h30 pour les quinze kilomètres qu’il reste pour rejoindre la maison.



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Journée de test à Bulle

Réveil matinal ce matin. Enfin, à peine plus matinal que les autres jours, mais 6h35 c’est tout de même tôt pour aller faire du sport, non ? Bref, les yeux à peine ouverts, j’attaque deux tartines et quelques louchées de Champion afin de faire le plein d’énergie pour la journée. A peine fini, départ en voiture pour rejoindre la piscine de Bulle.

Natation en matinée

Le temps est au grand beau dehors, au moment de s’enfermer à l’intérieur pour la matinée, on envie presque Gianna et Pierre-André qui partent pour un tour à vélo. Mais l’esprit est déjà concentré sur ce qui nous attend : 8h50, première série de 400m crawl. Objectif : confirmer le temps de Pully (4’59’’) et si possible sous les 4’55’’ ! A l’échauffement, j’ai vraiment des bons appuis et une bonne sensation de glisse, je me dis alors que ça peut le faire.

Top départ : j’essaie de fixer Daniel et Leandro qui nagent en même temps que moi. Le bon feeling de l’échauffement se confirme sur les premiers 150m, mais il me semble avoir de la peine à hausser (ou à garder rapide ?) le rythme des tours de bras sur la fin (c’est pourtant pas faute d’avoir essayé). Moyennement content donc à l’arrivée, je m’attends à ce qu’on m’annonce un temps légèrement supérieur à cinq minutes. Bonne surprise : ce sera finalement 4’56’’, en concordance parfaite avec mes résultats de ces derniers temps. Daniel me prend quant à lui une bonne demi-longueur, soit 4’45’’ pour sa part.

Une pause est prévue avant le 50m sprint. Je regarde quelques séries après la notre puis la montre et vois avec surprise qu’il ne nous reste qu’une demi-heure de temps devant nous. J’avale vite une moitié de Powerbar et commence à me reconcentrer avant de remarquer qu’il nous reste au fait une heure de plus : ouf ! on peut se poser un moment, discuter, écouter un peu de musique, … jusqu’à replonger dans l’eau un petit quart d’heure avant notre deuxième course de la journée. Même série de nouveau pour le 50m : je retrouve donc Daniel, Leandro et Nicolas à mes côtés. Je me dis qu’il faudra réagir au plus vite : sur une distance aussi courte, chaque fraction de seconde est bonne à prendre !

A la limite du faux départ, je suis en tout cas le premier à plonger dans l’eau. Pas de questions à se poser dans cette discipline : à fond jusqu’à avoir touché le mur final. Leandro remporte le sprint, mais je fais un bon temps en 28’’11. A la sortie de l’eau le chronométreur m’avoue que ça ne servait à rien d’anticiper le départ puisqu’ils démarrent le chrono lorsqu’on plonge : bien essayé, mais rien gagné sur ce coup là !

Course à pied

Après un passage par la Migros de Bulle pour réchauffer notre plat de pâtes au micro-onde, on rejoint bien en avance le stade de Bulle où se déroulera la deuxième phase de cette journée de tests. On se pose donc à l’ombre dans les gradins avec les autres athlètes pour attendre patiemment notre heure. Le 5’000m est prévu à 14h45, on commence donc à s’échauffer une heure avant environ. Petit footing léger dans les bois environnants pour se mettre en jambes. Une gorgée d’eau toutes les dix minutes environ tant le soleil tape fort. Il fait vraiment très chaud, donc je n’exagère pas trop avec les exercices et reste le plus possible à l’ombre ou avec la casquette. Vingt minutes avant l’heure H, petit gel énergétique (celui testé lors du tour à vélo la semaine passée : On voit ceux qui suivent les newsclin d'oeil). On enfile aussi les pointes : c’est la première fois de la saison, mais ça fait quand même un plus non négligeable…

Quinze bonnes minutes après l’heure prévue, on nous propose de rejoindre la ligne de départ (pas le mieux pour se préparer mais on fait avec !). Je prends tout de suite le commandement de la course avec de très bonnes foulées. L’objectif est simple : passer le premier mille sous les 3’10’’ et ensuite tenir du mieux qu’on peut sur la fin. Mais les pointes m’emporte dans mon élan : sans avoir l’habitude du rythme avec pointes, je tire le premier 200m en 32’’ et (bien qu’après avoir ralenti un peu) passe le premier 1'000 en 3’00’’. De quoi se griller rapidement ! Je me sens pourtant très bien après ce kilomètre express et prend un bon rythme pour passer le 2e kil en 6’16’’ : pile dans les temps ! C’est 200m plus tard que je comprends ma douleur lorsque je baisse subitement le rythme et Daniel passe devant. Il ne reste plus qu’à s’accrocher (ça faisait bien partie de l’objectif ?).

Sauf que s’accrocher jusqu’à 3’000m, ça passe encore (9’40’’), mais le 4e km est vraiment dur. Heureusement qu’il y a des verres d’eau pour se rafraîchir (dommage que ça ne fasse pas aussi partir le mal aux mollets...). A trois tours de la fin, je relance un petit coup en me disant que la fin approche gentiment. Le rythme revient légèrement mais on a vachement payé le « passage à vide » : 4e kil en 3’34’’ ! Daniel me mets encore deux secondes sur le dernier 100m. Il finit en 16’32’’, très proche du temps qu’on voulait effectuer.

Sur le moment, je m’en veux d’être parti au suicide de la sorte ; et de retour à la maison je me dis que c’est peut-être mieux comme ça : pour gérer la course en pointes, il aurait fallu faire des séries avec aux entraînements … et commencer aussi tôt risquait bien de nous griller pour le début de la saison en juin ! Globalement assez satisfait de mes chronos qui reflètent bien mon niveau de forme actuel : reste encore à s’affûter en vélo et enchaînements pour préparer une saison de folie !!



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2'000km...

... passés aujourd’hui au compteur. Après avoir constaté la saison passée un certain manque de puissance sur le vélo, on a décidé de reprendre les choses en main cette année. Fortement aidés par le temps exceptionnel de ce début d’année, on avait déjà repris le vélo la deuxième semaine de janvier avec deux sorties, soit 140km. La suite c’était en allant chercher le soleil, d’abord du côté du Tessin puis en Espagne pour arriver (ça doit être notre record) déjà à 1500km à la fin février !

C’est donc avec un joli fond qu’on attaque le mois de mars avec pour but de mettre progressivement du rythme dans nos entraînements. Dès le premier week-end on commence par des séries en montée à Lussery. La semaine suivante est sans vélo (à cause du camp à Desenzano), mais on se rattrape bien avec 200km sur les trois tours du week-end suivant (cf. news précédente). Ce jeudi petit tour de 30km en tournant les jambes le matin avant d’aller aux cours. Et enfin les deux tours de cette fin de semaine : hier Daniel nous trouve une jolie montée sur Froideville par Yens avant les répétitions de 5x2’ rapide entre Apples et Cossonay. On profite d’une pause pour tester un gel ... il faudra s’y habituer progressivement pour passer sur distance olympique !

Enfin, aujourd’hui nous attendait un « intervall-Zofingen » qu’on est allé faire à Lonay : un petit kilomètre à pied et environ cinq à vélo tirés à un joli rythme même si les jambes commencent à être assez fatiguées. On arrive à la maison avec 2005km au compteur (uniquement vélo de course, sans les trajets quotidiens), je ne pensais pas franchir les deux mille durant le mois de mars !



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3 jours, 3 tours, 3 styles...

Après le pic de natation du weekend dernier, nous avons décidé de baser celui-ci plutôt sur le vélo. Et cela commence vendredi déjà. A midi, il fait si beau et si chaud que Gianna a mis la table dehors sur la terrasse et nous annonce qu’elle va partir durant l’après-midi pour profiter du beau « qui ne durera pas » puisqu’ils annoncent de la pluie pour samedi. Jean-Claude a aussi envie d’y aller puisqu’il a fini sa journée (de cours). Quant à moi je suis un peu embêté car j’ai les cours qui reprennent cet après-midi. Cette semaine ils sont toutefois déplacés de 13h à 14h et j’ai donc une pause de 2h à midi. Il n’en fallait pas plus pour me décider à faire un petit tour. Après avoir mangé, m’être décidé et changé, il me reste un peu plus d’une heure. Départ donc avec Jean-Claude direction  Gollion, puis longue ligne droite jusqu’à Bussy et retour par Vufflens-le-Château. Jean-Claude pensait alors rentrer par Morges, mais regardant la montre je propose un détour par Saint-Saphorin et Echandens. Le rythme a été soutenu pendant tout le tour (32km/h de moyenne sur 36km) et la douche a dû être prise au moins à la même vitesse pour arriver à l’heure en cours (heureusement l’EPFL n’est pas loin !).

Du vélo est également au programme de samedi, suivi d’une petite transition. A voir le temps en se levant le matin, il est presque certain que le vélo sera remplacé par du spinning... mais presque seulement car nous avons encore le temps jusqu’à 14h pour nous décider. Et le temps se lève effectivement l’après-midi. Nous enfilons donc nos habits (avec bien une à deux couches de plus que le jour précédent) et partons sac au dos pour déposer nos chaussures chez Philip. Arrivés chez lui, nous retrouvons Marie et Anne... mais elles n’ont pas leur vélo ! Philip avait en effet ajouté un mot sur le forum du Rushteam  remplaçant l’enchaînement par une longue sortie càp. Tant pis, nous iront de notre côté. Pierre-André et Gianna nous disent d’aller pour nous à notre rythme. Le parcours est guidé par la vue des nuages noirs à l’horizon. C’est ainsi que nous allons un peu en zigzags jusqu’à La Sarraz, puis nous retournons sur Lussery. Nous croisons alors Pierre-André et Gianna qui sont en train de faire des montées. Nous continuons de notre côté sur Daillens. Arrivés à Bettens nous nous lançons sur une accélération individuelle jusqu’à Sullens (en partie aidé par le vent). Nous rentrons alors chez Philip et faisons une fois le parcours vélo du duathlon vert comme transition càp. Ce qui nous fait 56km de vélo et 20’ à pied avec le retour jusqu’à la maison.

Et finalement, il y avait encore le rendez-vous habituel du dimanche matin. Pas mal de monde sur le parking au départ et pas mal de vent également. Le départ se fait assez lentement sous l’impulsion de Philip. Une fois à Monaz, Jean-Claude passe devant et je le suis. Le rythme s’accélère alors. Nous continuons ainsi jusqu’à Aubonne et faisons demi-tour un peu avant Rolle. Le vent est alors plein face et les effets s’en ressentent sur le compteur. A Préverenges, nous bifurquons à gauche pour un deuxième tour en direction de Cossonay avant de changer de but pour Mont-La-Ville avec une montée relativement rapide. Descente jusqu’à La Sarraz puis même parcours que vendredi jusqu’à Daillens. Philip nous invente ensuite une bonne série de détours par Cheseaux, Crissier et Bussigny pour rejoindre enfin la maison par la route de la Pierre après 110km environ.

Au final, belle quantité de vélo sur le weekend avec vendredi un petit tour rapide, samedi un autre un peu plus long sous la grisaille avec un mini contre-la-montre et une transition càp de 20’ et dimanche le tour le plus long au départ assez lent mais avec de belles accélérations par la suite.



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Camp à Desenzano

Je vous le disais tout à l’heure dans la news précédente : nous sommes partis la semaine passé en camp, axé essentiellement natation avec quelques sortie càp également. Mais revenons au début : après 5,5km de nage lundi soir au Pontet et une série de 5x5’ en càp mardi, on monte dans le train mercredi en début d’après-midi direction Tenero pour faire un entraînement « d’avant-goût » (5km axés glisse) avec Nils et Sven. Après une nuit passée chez eux (et d’excellentes lasagnes maison…), on rejoint les autres athlètes du Team Triathlon Capriasca pour rejoindre Desenzano (Lac de Garde) en minibus.

A peine arrivés, premier entraînement natation de 5’900m sans grandes particularités. Je fais mon possible pour tenir dans les pieds de Nils et Daniel. Le soir footing de 15km en légère progression effectués en 1h10 environ ; difficile de rester en-dessous de 150 pulse/min (c’était la consigne, pour le début en tout cas…).

Moi, Sven, Nils et Daniel après le dernier entraînement...

Vendredi, 15 minutes de condition physique puis 5km500 de natation juste avant midi. Le rythme s’accentue progressivement, avec notamment 5x100m départ chaque 1’20’’. Après un bon plat de pâtes (enfin non, plusieurs plats clin d'oeil), petit repos et on rattaque le soir avec 6x2’ de càp à travers les rues pavées de Sirmione enchaînées directement par 5km de natation. Toujours aussi dur de replonger après la course, mais on se motive facilement en pensant au dessert qui nous attend !

La journée de samedi ressemble étrangement à celle du vendredi. Christophe Pellandini (l’entraîneur) nous annonce officiellement qu’on fera l’équivalent de la traversée du Tessin en sommant natation et càp durant la semaine ! 6km de natation le matin dans le même style que la veille à 10h30. Puis ce sera 7.5km de footing dans l’après-midi, en rythme tranquille (il faut croire que la fatigue s’installe gentiment) suivi d’une série bien difficile de 1’200m avec des pauses variées. Les bras deviennent bien lourds mais le plus dur a été gardé pour la fin : lors du dernier entraînement le dimanche nous attendent 18x100m répartis en 3 blocs. Quelle tête on a dû faire en apprenant la série !

Arrivée juste à temps à la gare de Lugano pour prendre le train qui nous ramène à la maison. En résumé, ça nous donne (du lundi au dimanche) pile poil 20 heures d’entraînement avec presque équitablement 45km de natation et de course à pied  ... de quoi retrouver la forme !

Des photos sont disponibles en ligne sur https://picasaweb.google.com/teamnuototesserete/CampoDiAllenamentoDesenzano.



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