Daniel & Jean-Claude Besse

Natation Vélo Course

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PR sur 10km au marathon de Lausanne

Depuis quelques semaines, je me sens très en forme aux entraînements de course et c'est l'occasion de le prouver au quart de marathon à Lausanne. Le jour J, les conditions sont optimales, frais mais sans sentir l'air froid dans la gorge en respirant, et un très léger vent de face à l'aller mais qui aide sur le retour. Dès le début, je me sens bien et part derrière un relativement grand groupe jusqu'au premier kilomètre. Moi qui voulais partir lentement, je me laisse emporter par un rythme qui me semble aisé mais ça reste du 3'11/km (ou 3'03/km GAP selon Strava). Dans la descente de Denantou, je laisse donc partir un peu le groupe en me relâchant comme il faut. Passage au 2e kilomètre toujours plus rapide que prévu mais là c'est la dénivelation qui fait la différence (2e kil en 2'55, 3'21 GAP). Je suis ensuite les petits groupes que je trouve, tâche de ne pas trop rester seul, mais fait quand même l'effort parfois pour revenir dans les pieds d'un autre que je vois devant. Les kilomètres défilent et se ressemblent avec toujours cette sensation de facilité et un rythme très constant entre 3'23/km et 3'29/km jusqu'au kilomètre 8. Là, une tentative d'accélération dans la petite remontée sur Pully me donne un début de point sur le côté et je peine donc un peu plus sur ce 9e kilomètre avec deux ou trois concurrents qui me distancent à nouveau, en 3'36, ce sera mon plus lent de la course. Le dernier kilomètre se fait au mental, avec un essai de remettre du rythme pour passer la ligne au plus vite car je sais depuis un moment que je vais faire mon record mais de combien? Réponse, dernier kilomètre en 3'16, certainement plus lent en vérité puisque la montre ne le compte qu'à 960m; au total, ça me donne donc 33'13 à la montre, corrigé à 33'10" à la puce. Jean-Claude finit pas loin derrière avec 33'35. Il est parti moins vite dès le début mais m'a certainement repris un peu de temps sur les deux derniers kilomètres.

Très content de ma performance donc, avec plus d'une minute de gagnée sur mon meilleur temps jusqu'alors sur 10km et 1'30 sur le temps de l'année passée. Pour être correct et éviter de faire grincer les dents des pauvres statisticiens, il faut quand même préciser que ce n'est pas un quart de marathon mais un 10km et qu'il n'est pas officiel au vu de la dénivélation négative. Malgré tout, ça reste une excellente course et ça reflète ma forme actuelle, à imputer certainement aux longs footings de ces derniers weekends, à une décalage de cette saison suite à l'armée en hiver passé et aux conditions de course optimales.

Prochains rendez-vous: corrida d'Octudure à Martigny dans deux semaines et ensuite Escalade à Genève début décembre.



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Semi-Marathon d'Amsterdam

Cette année la reprise à été plutôt intensive. Après le triathlon de Morat et deux semaines de pause méritée, je suis parti pour Londres revoir les amis d'études de 2012-2013. J'y ai repris les entraînements de course à pied, et même plus que prévu en rejoignant mes collègues du club de course d'Imperial. Tout semblait donc pour le mieux afin de préparer la première échéance arrivant vite: le semi d'Amsterdam avec le Rushteam.

Seulement la deuxième semaine intensive fut certainement un peu trop long, trop vite après la pause et le genou gauche s'est plaint lors de notre footing samedi passé (le 11). Quelques jours de repos, un peu de pommade anti-inflammatoire et je réessaie de courir un poil le mardi, sans grand succès. Donc semaine très light m'amenant au semi avec beaucoup de doutes.

Une partie du groupe à l'expo... (De gauche à droite en haut: Benoît, Jean-Claude, Hervé, Pierre-André et Dominique. Milieu: Matteo, Cendrine et Julio. En bas: Carmen, Valérie et Françoise)

Le vendredi on décolle de Genève pour Amsterdam, et profite de se ballader un peu avant de manger. Samedi c'est visite de l'expo, récolte des dossards, ballades et visites en ville, etc. Depuis 3-4 jours le genou va mieux et je peux envisager mon objectif de 1h16, voire 1h15 si tout va super bien (et sous les 1h20 de toute façon). Dimanche je regarde les premiers km du marathon, avant de me préparer pour ma course. Et sur quelques foulées avant le départ je ressent une petite gêne dans le genou, aille c'est pas bon signe !

Bref je me mets sur la ligne en oubliant tout objectif et me demandant plutôt si j'arriverai au bout. Une fois le coup de pistolet donné, je prends un petit rythme pas trop rapide pour m'économiser un peu. Je regarde la montre seulement vers le 2e km lorsque je commence à dépasser quelques personnes: juste dans les 3:30/km, soit un poil moins de 1h15, bonne allure. Niveau genou c'est ok, je le ressens mais du côté positif ça ne s'empire pas et c'est pas au point de faire mal. Je remonte alors des concurrents partis trop vite, et ce jusque vers le 7e km.

Dans les km 7-12 environ je suis dans un petit groupe qui avance bien. Mais il va exploser ensuite avec l'accélération de 2 coureurs et un autre que je lâcherai. Puis c'est à mon tour de câler gentiment lorsque vers le 13e on attaque le retour vent de face. Je me mets alors dans un groupe de 5. En regardant la montre au km15 je sens bien que 1h15 c'est pas faisable, 1h16 peut-être. Mais le vent est usant et à force de slalomer dans les derniers kilomètres les concurrents du marathon qu'on doit dépasser sur des routes relativement étroites je perds mon groupe (et mon allure) pour passer la ligne en 1h17:20 officiellement.

Je suis content de ma gestion de course, et de mon temps au vu de la préparation inhabituelle. Mais sur la ligne c'est plutôt le genou qui m'inquiète, car après avoir cessé de courir la douleur s'intensifie. On se retrouve petit à petit avec le groupe, je profite d'un massage avant d'aller se ravitailler au resto.

Lundi c'était visite de la ville, puis retour en avion à la maison. La prochaine étape c'est le quart dimanche, j'espère que mon genou se rétablira vite!

1 comment
Le chapeau traditionnel sied très bien à PA ! ahahah !
par nibel64 the 21-10-2014 at 16:45


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virKlon man sprint: nouvelles trifonctions pour 2015

Ces dernières années, nous avons utilisé et usé notre trifonction zerod du Rushteam profitant de notre statut de kids en quelque sorte. Mais voilà, toute bonne chose a une fin et le coup de grâce pour celle-ci fût notre chute à Préverenges qui a rendu la mienne inutilisable et celle de Jean-Claude fort abîmée. J’ai fini la saison avec la M9 que portent les « adultes » du club, oscillant parfois avec l’ancienne zerod de l’équipe suisse comme la M9 est moins adaptée pour une natation sans combinaison néoprène à mon avis. Reste que cette solution n’était pas optimale et nous nous sommes donc mis à la recherche d’une nouvelle trifonction pour la saison prochaine.

Après de multiples discussions à droite et gauche, le résultat était toujours le même : pas possible pour une commande de quelques pièces uniquement. Rien de bien intéressant donc jusqu’au jour où je tombe par hasard sur un post slowtwitch de quelqu’un qui vante la customisation aisée et la qualité des combinaisons virKlon avec manches. A la suite de quelques recherches, il se trouve que, quand bien même cette personne est sponsorisée par ladite entreprise espagnole, la proposition se trouve être très intéressante. S’en suit une petite série d’e-mail avec les responsables sur place, très réactifs et sympathiques à première impression, et une proposition de leur part de nous faire un design personnalisé. C’est parti donc pour un essai et j’en commande une pour moi. A 84€, c’est pas cher et si elle est bien ça vaut la peine. Le tout tient dans le si et les attentes sont élevées, j’espère beaucoup et n’est pas envie d’être déçu car je n’ai pas d’autres solutions sous la main.

virKlon Sprint front - Rushteam design virKlon Sprint side - Rushteam design
viKlon Sprint trifonction avec le design personnalisé pour le Rushteam

La combinaison arrive relativement vite, même en avance sur les prévisions de départ, mais j’étais averti car je suis le tracking comme certains les sites d’inscription pour ironman. Un essai rapide à la maison me donne immédiatement satisfaction. Les parties plus élastiques sur les cuisses sont assez serrées mais sinon la taille est parfaite. La matière est très élastique et le confort est parfait pour respirer, de ce point de vue-là, elle ressemble plus à la zerod qu’à la M9 ; c’est une peau, pas un habit qui colle et gratte. Un seul doute ressort : la matière semble absorber plus l’eau que de montrer des propriétés hydrophobes, la glisse sera-t-elle au rendez-vous ? Réponse le soir même avec un entraînement complet avec au Pontet. La combinaison reste bien collée et on ne sent pas cette rétention d’eau en nageant, même si elle est bien présente et ralentit peut-être un peu ?

virKlon Daniel front virKlon Daniel back virKlon Jean-Claude front
Premiers essais à la maison avant essai en piscine

En tous cas, j’en suis satisfait pour l’instant et Jean-Claude a commandé la sienne entre-temps. Ce sera donc notre trifonction pour la saison 2015, avec un design très flashy et magnifique et nos prénoms dessus pour les spectateurs. Que demander de plus ? Ah oui, peut-être, qu’elle tienne bien sur la durée, à la fois par la qualité et l’absence de chute, et ce serait parfait.

Si quelqu’un veut essayer, c’est par là http://www.virklon.com/ et c’est volontiers que je réfère ou passe le code pour le même design que nous.



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Seelandtriathlon Morat

Le dernier triathlon de la saison 2014 a eu lieu samedi passé à Morat, sur distance olympique. Cette fois-ci les juniors partaient également avec nous. Pour ma part l'objectif était assez dur à estimer, après une grosse déception à Yverdon et quelques douleurs musculaires et aux périostes la semaine précédente. En discutant le vendredi soir à vélo avec Daniel, on est arrivé à la conclusion que je devais arriver dans le top 6 overall et Daniel top 10 (y compris juniors qui sont classés séparément).

Natation

Contrairement aux dernières courses effectuées, il y a à Morat une bien plus grande densité de niveau (notamment grace aux juniors). L'eau est plus fraîche que le Lac Léman, mais une fois chauffé ça gêne pas du tout. De l'eau rentre dans la combi (c'est vraiment le moment de la changer, après 5 ans elle demande sa retraite depuis quelques semaines). Quelques 5 personnes (Daniel, Valentin Fridelance, Patrick Ryhner, Jonas Nowka et moi-même) ont le droit à un bonnet orange PRO et un départ quelques mètres en avant dans l'eau. Une fois le départ donné ça donne juste de quoi avoir les poursuivants dans les pieds. Après des discussions, il s'avère qu'on doit viser la bouée la plus à droite (mais pas si facile à voir puisqu'un bateau de sauvetage est dans la ligne de mire et la bise fait quelques vagues.

Patrick part vite devant, et nous dans les pieds. Au deux-tiers de l'aller Sylvain Fridelance passe devant et ils nous lâchent (avec Patrick). Je suis à côté de Jacques Louw. A la bouée je suis sur l'extérieur et ne comprend pas bien ce qui se passe quand je tape dans quelqu'un arrêté sur le dos. C'était Jacques qui remettait ses lunettes après un coup de coude de Daniel. Valentin, Max Studer et Daniel sont donc les premiers poursuivants et moi je me tape tout du long avec Jacques pour prendre les bonnes bulles. Tout un groupe sort ensemble, avec notamment Arnaud Zbinden, Maxime Huuber-Moosbruger et Philip Koutny aussi. J'étais content d'avoir suivi les bulles dans les pieds sur le moment, en analysant les temps après-course je perd tout de même 10s sur Valentin et Daniel, et une bonne minute sur Sylvain et Patrick, c'est pas rien.

Une fois de plus la combi coince sur les chevilles (plus aussi souple avec l'âge ou bien c'est moi qui peine?). Ca a le don de m'énerver un peu. Je dépasse Daniel en mettant les chaussures et puis gaz.

Jean-Claude au départ vélo.

Vélo

Sur le départ la bise nous pousse et une fusée (Philip Koutny) nous dépasse beaucoup trop vite pour suivre. Après quelques dépassements entre nous avec Jacques je prend Valentin en ligne de mire pour le rattraper. (Je croyais que c'était Sylvain sur le moment.) En tournant vent de côté vers Nespresso Valentin roule avec Max et moi je remonte gentiment pour arriver sur eux à Salavaux, où on doit tous éviter une camionnette qui paniquée sûrement c'est plantée net au milieu du carrefour. Vent de face sur un petit bout je prend les rennes, mais ils me redépassent vite dans la montée. Vers le sommet dans les faux-plats je redépasse Max et roule à environ 50m de Valentin. On remonte progressivement sur Sylvain avant la montée du Vuilly sur le retour. Ils roulent plus ou moins ensemble dans la descente à fort vent sur le giratoire de Villars-le-Grand. Le vent de face souffle à nouveau sur Salavaux, je décide donc de faire l'effort pour passer devant. Je me retourne plus jusqu'à Nespresso où je vois qu'ils sont proches derrière moi.

Une décision s'impose : continuer à tirer fort, ou alors relâcher un peu les derniers kilomètres pour mieux courir derrière. Je penche vite pour la première solution : ça évite le retour de gens lâchés et/ou à l'arrière (je pensais à Max et David Bill), et peut-être aussi que les frères Fridelance se fatigueront plus que moi comme je semblais être plus fort vent de face. Je pose donc le vélo en troisième position overall (mais bien loin de la tête tout de même).

Jean-Claude et Daniel en finissant le vélo.

Course à pied

Après une transition ok (je trouvais pas mes chaussures qui étaient sous une combi néorène). Je pars bien et rapidement Sylvain revient à ma hauteur. Je décide de le suivre même si le souffle est parfois limite. Heureusement il relâche son rythme en arrivant à mes cotés. On court ensemble jusqu'au km 3 environ, lorsque Valentin nous rejoint. Lui ne ralentit pas et là je n'arrive pas à suivre (au contraire il me semble câler un peu). Les deux s'échappent donc. Quelques kilomètres plus loin (vers 6.5km) Max me rattrappe également. Il ira carrément reprendre Sylvain qui peine plus sur la fin. Je finis donc 6e overall, 4e de la catégorie (Sylvain et Max étant juniors) et 2e aux Championnats Suisses universitaires (derrière Valentin).

Jean-Claude à 5km à pied.

Au final

Cette semaine je suis vraiment arrivé avec le sourire (enfin pas d'après les photos mais dans la tête).

Daniel a perdu 1min30 environ à vélo sur moi. Sachant qu'en revenant de l'armée à Zug c'était plutôt 2min20 et que là j'ai à mon goût mieux roulé je crois qu'il s'en est pas mal sorti. A pied il a eu plus de peine et couru en 38'21 (moi 35'36). Il termine aussi dans l'objectif fixé la veille (10e overall exactement).

Podium universitaire.

Comme Daniel le disait après Yverdon, on a gagné en expérience à gérer nos entraînements seuls cette année. Il y a pas mal de détails qu'on aimerait régler. Point de vue forces/faiblesses: on a beaucoup progressé en vélo, la course était plutôt stable après une forte progression en 2013 (mais un peu trop en dent-de-scie, donc il faudrait enchaîner plus régulièrement après les sorties vélo), en natation c'est quasi-stable depuis quelques années, à un niveau qui est bon pour le longue distance ou circuit populaire, mais un poil lent pour PRO et drafting.

Troyes a été une bonne expérience, pour le volume mais aussi la nutrition, et j'ai quelques tests à effectuer prochainement.

Mais d'abord ces prochaines semaines on se fait plaisir !



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Tri Yverdon

Objectif podium au circuit

Avant-dernier triathlon de la saison pour nous avant l'olympique à Morat la semaine prochaine. Yverdon tombant en même temps que Locarno (aussi au circuit avec un olympique et les championnats suisses longue distance), c'est l'occasion rêvée de faire une bonne place sur le circuit suisse. Pas trop de pression malgré tout. Le parcours que je n'avais encore jamais fait depuis le passage en ville n'a pas l'air aussi difficile qu'il n'y paraît; il faut toujours relancer c'est vrai mais les virages sont bien larges. Après ce petit repérage, le temps passe bien vite et en deux temps trois mouvements, nous nous retrouvons déjà au départ.

Jean-Claude meneur en natation

Un rien surpris, je ne fais pas un super premier saut dans l'eau et malgré ma lunette droite pleine d'eau, j'aperçois Jean-Claude qui fait du dauphin devant. Je me mets donc dans ses pieds et décide de les garder coûte que coûte. Au début je me bats un peu mais après ça passe bien. Quelques coups sur la tête à Valentin car c'est moi qui prends les bulles de mon frère, c'est comme ça et pis c'est tout. Après la bouée, je ne vois pas la sortie avec mes lunettes complètement mal mises mais à suivre Jean-Claude ça va pas trop mal. Je zigzague un peu, quoique d'après Valentin c'est notre guide qui dévie constamment et d'après P-A et les autres spectateurs on est de loin pas les pires. Sortie de l'eau à trois donc, mais j'ai un peu de peine avec le souffle et cours donc un peu moins vite vers ma place. Ajoutez à cela la combi qui coince dans la puce et les écarts sont déjà conséquents au départ vélo avec Valentin devant Jean-Claude et moi. 

Jean-Claude, Daniel et Valentin à la sortie de l'eau.

Vélo et càp au rythme

Rapidement un néozélandais me passe sur le vélo, mais par rapport à Jean-Claude j'ai l'impression de pas trop mal m'accrocher. Nowka me dépasse lui aussi au deuxième tour et là la différence de rythme me paraît bien grande. Je reviens finalement sur Jean-Claude alors qu'il n'y pas l'air en forme. J'ai pas l'impression d'avoir mieux tiré que ces derniers triathlons à vélo, pas moins bien non plus mais j'ai souvent eu cette année un temps vélo inférieur aux concurrents qui finissent comme moi. La course par contre est plus difficile. Le rythme constant passe bien par contre pas moyen d'accélérer et de suivre les quelques-uns qui me dépassent; même vitesse qu'à Lausanne probablement mais sur un sprint j'aurais bien voulu aller plus vite.

Daniel en course à pied.

Déçu donc en passant la ligne 6e (7e overall avec un plus agé parti 5' après me battant d'une seconde). C'est certainement pas si mauvais non plus puisque je perds sur les premiers un peu comme à Lausanne... mais voilà, c'est pas ce que je voulais de cette journée. Le moral remonte un peu ensuite avec les commentaires de nos magnifiques supporters et l'acceuil chaleureux de Julio et Carmen qui ont su rendre Yverdon un must avec un balcon à belle vue mais surtout excellente compagnie. Reste qu'avec Jean-Claude les discussions vont train depuis quelques temps lors des entraînements sur comment se préparer mieux l'année prochaine: zones, tests, cycles, phases, sprints, olympiques, semi, ... tout y passe, en vrac pour l'instant vu qu'il ne vaut pas la peine de se concentrer sur 2015 quand la saison 2014 n'est pas encore terminée mais on donnera plus de détails lorsque l'ordre sera remis et les idées comme les corps reposés.



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