Courir quand le monde dort…
Nouvelle résolution depuis le début de l’année – académique sous-entendu, soit fin septembre, donc équivalent à depuis la reprise ! – et toujours en vigueur depuis lors, on a décidé avec Daniel d’ajouter un entraînement course en plus : footing le week-end, pour faire le fond en dehors des séries habituelles des mardis et jeudis. Un « samedi type » se constitue donc de : réveil autour des 7h30 le matin, soit à peine trois-quarts d’heure plus tard qu’en semaine, mais régulièrement sans trop de difficultés… On ouvre la fenêtre (et les yeux ) pour voir le soleil gentiment se lever. Ensuite c’est direct dans les habits de course avant de descendre à la cuisine pour avaler une banane et un verre de jus de fruits.
Après avoir pris ces quelques forces, c’est parti pour environ une heure de footing. Autour de la maison le quartier est bien calme, peu de monde doit être debout : on court tranquillement, les premières fois au bord du lac, puis dans la forêt le long de la Venoge pour se protéger de la bise des matins d’hiver … ou encore sur Echandens, Denges, voir Lonay. C’est alors qu’on se rend compte de la distance qu’on peut parcourir en une heure de footing, nous qui étions habitués à 20-30 d’échauffement avant de revenir sur nos pas pour attaquer les séries !!
On (re-)découvre donc la région, discute un peu de notre semaine d’EPFL (et aide parfois l’autre à résoudre un problème…) avant de revenir peu avant 9h à la maison. Avantage : le jour a à peine débuté (« le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt » qu’ils disaient, non ?).
Tartines et chocolat(s) chaud(s) à peine rentrés (il paraît en plus que c’est un des meilleurs moyens pour refaire le plein d’énergie après une séance. Et de toute façon je ne vois pas pourquoi on se priverait de ce qui nous fait plaisir, hein ?). On prend le temps de lire le journal qui est arrivé entre temps et part alors pour l’entraînement de natation – qui était déjà au programme du samedi l’année passée et se retrouve désormais comme simple « enchaînement ». Quelques 4km et 1h20 plus tard environ, retour définitif à la casa peu avant le dîner… et il reste l’après-midi pour bosser !